L'expo dans un mois !

Samedi 28 avril et dimanche 29, Arts & Loisirs à Gogo expose !

Il serait quand même temps que je m'occupe de la logistique : affiche, invitation, réservation des grilles, établissement du planning des permanences, étiquettes ou catalogue, courses pour le vernissage....

Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment, mais je n'arrive pas à m'y mettre. C'est dans un mois et rien n'est fait !

Dans quel monde vivons nous ?

Je reviens de ballade avec mes chevaux. Ils ont mangé comme des goulus pendant près de deux heures. Je les ramène, repus, dans leur pré d'hiver.

Et je vais faire mon tour d'inspection du pré d'été. Voir si l'herbe commence à pousser, reclouer une planche par ci, une planche par là, de leur abri ; je vérifie l'abreuvoir et... je cherche mon tuyau ! Le bout de tuyau qui sort de terre derrière l'abri et se pose au dessus de l'abreuvoir. Disparu ! Plus rien. Je contourne l'abri, découvre la tranchée mise à nue, sur 10 mètres et là, le tuyau en terre qui n'a pas pu être déterré, coupé net !

La rage me noue la gorge ! Ca fait 5 ans que mes chevaux vivent ici, 5 ans que rien ne disparait, même pas la pile électrique qui alimente la clôture... et voilà qu'on me pique 10 m de tuyau avec une vanne !

Et comment je vais faire, maintenant, hein ? Faut que je me dégotte un raccord en 32 mm -pas standard, forcément- que je raboute un tuyau que je démonterai chaque fois que j'aurai fini de m'en servir ?

Vous vous rendez compte ? Voler 10 m de tuyau... dans quel monde vivons-nous ?

 

deux heures à perdre... fin

Allez, stop, j'arrête là. J'ai repris mon bûcheron (régime, régime) deux trois coups de pinceaux plus loin et voilà :

En plus je suis contente, parce que là, on a exactement les couleurs finales !

deux heurs à perdre, suite...

en rentrant de l'atelier, ce soir, j'ai poursuivi et voilà :

le bûcheron ne me plait toujours pas

deux heures à perdre

Une seule élève cet aprèm à l'atelier. Alors j'ai pris les pinceaux et j'ai reproduit une photo que je traine depuis des mois et qui me fait de l'oeil chaque fois que j'ouvre ma pochette de travail.

Elle n'est pas encore finie, loin de là, mais je vous la présente quand même.

Je dois reprendre les ombres du sous bois, donner un vrai corps avec un vrai visage à mon bûcheron, fignoler qq détails de premier plan... bref, encore un peu de boulot dessus en somme !